
Bukavu la verte, suisse d’Afrique, l’ancienne constermansville était considérée comme un véritable Eldorado où faisait beau vivre, où la verdure dominait même les longs des grandes artères, des places publiques, couvrait des espaces aussi important et où chacun pouvait vivre sans s’inquiéter du lendemain.
Petit à petit, la ville s’est désolidarisée des bonnes habitudes et empruntée le chemin de la destruction, du déboisement sans respect des consignes, de la déforestation et distribution des parcelles même sur des sites non viables…des initiatives qui ont plongées la ville dans une série d’ évènements malheureux à la base de plusieurs morts, disparition et destruction des nombreuses habitations.
La disparition de cette verdure a aussi laisser place à la poussière qui aujourd’hui arbore et maquille les grandes places publiques, les rues et ruelles, des maisons et centres commerciaux.

En perte de vitesse, surtout de sa beauté, Toute la ville se retrouve ainsi à la merci de la poussière, base également des plusieurs sortes des maladies surtout pendant cette saison sèche.
Depuis des années, les habitants cherchent à combattre ce phénomène mais sans succès.
La poussière s’est invitée dans les habitudes laissant sans mot les chercheurs et scientifiques qui voudraient copier et proposer les habitudes vécu sous d’autres cieux à la ville mais sans succès.
Autre danger est que, par manque d’espace approprié pour effectuer des petits commerces, d’autres étalent à même le sol les produits consommables accentuant le danger lié à la prolifération de la poussière.
Dans une ville où l’accès à l’eau reste également un débat, cette présence exagéré de la poussière ne fait que empirée les choses. Vu l’ampleur de la problématique, il est à ce jour difficile de faire plusieurs kilomètres à pieds ou à moto, voir voyager à s’en grimpant sur des gros engins sans risque de faire face à certaines difficultés sanitaires liées à cette prolifération.
Le reboisement sera t-il cette réponse appropriée pour diminuer tant soit peu cette poussière qui enlève à Bukavu son caractère d’une ville attirante où il fait beau vivre ?
D’aucun doute que celà fait partie des solutions pour réduire les risques.
D’autres estiment qu’arroser la ville régulièrement serait juste une solution palliative mais engagés des grands travaux pour soit paver les longs des artères serait également une solution.
Il est temps donc de prendre les taureaux par les cornes et trouver une réponse appropriée à ce problème qui a toujours mis en danger des générations en générations.
Rédaction des informations
Olivier kitoga